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Recherche par auteur : Moeri, Antonin

5 résultats.

Durée : 6h. 22min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 36259
Résumé:Quand le soleil descend doucement sur une des plus belles régions du monde, lui prêtant quelque chose de la somptuosité des forêts tropicales, l’homme en veste de pyjama tente de se souvenir. Il se demande entre autre pourquoi la ?lle au regard de feu, quand l’orage menaçait de s’abattre sur eux, ne cessait de lui parler de l’artiste germano-suisse Meret Oppenheim. Il semblerait que tout ça, l’homme en veste de pyjama l’ait raconté à son ami, un sculpteur qui vend ses œuvres par-delà les frontières.
Lu par : Marcel Pahud
Durée : 2h. 48min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 6183
Résumé:Un acteur raté, une musicienne sublime, un informaticien ivrogne : un monde étrange, destructeur, hystérique, guetté par le vertige du gouffre. Antonin Moeri nous emmène aux confins de la normalité.
Durée : 7h. 36min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 71766
Résumé:Dans Moi cet autre, qui est une suite de tableaux, on entend une voix, celle d’un personnage qui ne tient pas en place et qui, entre deux balades dans la campagne ou deux séjours à l’étranger, peut se retrouver dans un tea-room, sur une terrasse, dans une gare ou un bus… C’est au bord d’un lac qu’il ralentira sa course pour mieux observer des touristes, de pseudo-artistes, un ex-représentant de cigares, de jeunes mamans, toutes sortes de rentiers, des gens dépourvus de libido qui feront surgir d’autres images, celles de femmes aimées ailleurs et dans un autre temps, celle d’une mère également, qui ?nit ses jours dans un établissement qu’on nomme « lieu de vie ». Or ce qui prendra le dessus dans cette « errance », c’est le rythme des pas et celui des mots qui trouveront peu à peu leur place « dans une trame qui pourrait être celle d’une épopée, d’un hymne, d’un récit ou d’un compte-rendu ».
Durée : 5h. 24min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 66879
Résumé:Exposé au bruit des autres dans un espace public genre tram, café, train, bus ou avion, vous pourriez vivre cette situation comme une malédiction. Mais alors, comment réagiriez-vous aux agressions sonores répétées dans votre espace privé ? C’est à cette question que tente de répondre Ramdam dont les séquences et les situations s’inspirent de faits bien réels. Sachant que ce genre d’agressions peut conduire aux pires extrémités, l’auteur de ce roman tente d’imaginer les circonstances dans lesquelles un individu peut, subitement, basculer dans l’irréparable. Harcelé par un voisin musclé et sans scrupule, proche des mouvements identitaires, un fils de viticulteur algérien sent le sol se dérober sous ses pieds.
Lu par : Jocelyne Corbaz
Durée : 4h. 18min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 19629
Résumé:Je lui ai raconté qu'en sortant du tribunal je m'étais arrêté devant la vitrine d'un armurier. que j'avais longuement examiné la crosse d'un Smith & Wesson, celui qu'utilisent les soldats de l'US Air Force. Cete crosse me fascinaité. Je la voyais grandir puis diminuer, s'approcher de mes yeux puis s'en éloigner dans un nuage de paillettes, s'élargir puis s'allonger. Elle prenait des formes inimaginable, changeait de couleur. Me suis demandé si elle était en bois ou en plastique. Les mains chaudes de mon avocat continuaient de serrer les miennes. Son visage était parcouru d'un tic inhabituel, comme s'il avait été surpris par une explosion et que, depuis, ce spasme ne l'avait plus quitté. Aurait-il pitié de moi, l'homme de loi ? Mais que peut-il faire pour moi ? C'est avec le Smith & Wesson au fond de la poche de mon manteau que je me suis présenté chez le voisin du dessus. J'ai pesé plusieurs fois sur le bouton de la sonnette. Il a finalement ouvert la porte. Il était pieds nus, la veste de son pyjama ouverte sur les tablette de chocolat. Je me suis, une fois de plus, senti écrasé par cette présence en caleçon de coton extra-fin qui mettait en valeur la musculature de ses cuisses. Je me sentait lamentable avec mes jambes allumettes. Ses genoux, son front, ses mains étaient ceux d'un tyran qui exige de ses sujets une soumission absolue, une stricte observation de la seule loi édictée : LA SIENNE !!! J'ai appuyé trois fois sur la détente.